Les prix des aliments continueront d’augmenter en 2024, mais à un rythme plus lent que cette année selon le dernier rapport sur les prix des aliments préparé par des chercheurs de quatre universités canadiennes. Le 14e rapport annuel de l’Université Dalhousie, de l’Université de la Colombie-Britannique, de l’Université de Guelph et de l’Université de la Saskatchewan prévoit que les prix des aliments augmenteront d’entre 2,5% et 4,5% l’année prochaine, à mesure que l’inflation continuera de se modérer.
Cependant, le professeur Sylvain Charlebois, directeur du laboratoire d’analyse agroalimentaire de l’Université Dalhousie et chef du projet, affirme que les épiciers seront confrontés à une concurrence féroce l’année prochaine pour tenter de regagner la fidélité, car les clients magasinent davantage pour essayer d’économiser de l’argent. Selon lui, cette concurrence pourrait conduire à une légère déflation des prix de certains produits alimentaires essentiels. Il affirme qu’en 2023, les clients ont dépensé moins en dollars que ne le prévoyait le rapport de l’année dernière, car ils ont réduit leurs dépenses dans les restaurants et les épiceries. Le plus récent rapport prédit qu’une famille moyenne de quatre personnes dépensera environ 700 $ de plus en nourriture l’année prochaine que cette année.
(avec La Presse Canadienne)
Les prix des aliments continueront d’augmenter en 2024, mais à un rythme plus lent que cette année selon le dernier rapport sur les prix des aliments préparé par des chercheurs de quatre universités canadiennes. Le 14e rapport annuel de l’Université Dalhousie, de l’Université de la Colombie-Britannique, de l’Université de Guelph et de l’Université de la Saskatchewan prévoit que les prix des aliments augmenteront d’entre 2,5% et 4,5% l’année prochaine, à mesure que l’inflation continuera de se modérer.
Cependant, le professeur Sylvain Charlebois, directeur du laboratoire d’analyse agroalimentaire de l’Université Dalhousie et chef du projet, affirme que les épiciers seront confrontés à une concurrence féroce l’année prochaine pour tenter de regagner la fidélité, car les clients magasinent davantage pour essayer d’économiser de l’argent. Selon lui, cette concurrence pourrait conduire à une légère déflation des prix de certains produits alimentaires essentiels. Il affirme qu’en 2023, les clients ont dépensé moins en dollars que ne le prévoyait le rapport de l’année dernière, car ils ont réduit leurs dépenses dans les restaurants et les épiceries. Le plus récent rapport prédit qu’une famille moyenne de quatre personnes dépensera environ 700 $ de plus en nourriture l’année prochaine que cette année.
(avec La Presse Canadienne)
Walmart Canada annonce que près d’un milliard de dollars seront investis au cours du présent exercice dans une série de projets visant à moderniser la présence du géant de la vente au détail au Canada. Les dépenses comprendront plus de 300 millions $ pour le réaménagement et la rénovation de magasins. Certains magasins de la chaîne seront modifiés pour inclure notamment de plus grandes zones de fruits et légumes, avec un plus grand assortiment de produits, plus d’espace pour que les employés puissent préparer les commandes des clients et des marquages plus clairs dans les allées. Ces changements s’inscrivent dans le cadre d’une transformation quinquennale que Walmart Canada a annoncée en juillet 2020 et qui vise à remanier l’infrastructure des magasins et l’expérience des clients en y apportant des améliorations d’une valeur de 3,5 milliards $.
(avec La Presse Canadienne)
Le ministre de l’Environnement Steven Guilbeault a déclaré que le gouvernement fédéral fera appel d’une récente décision de la Cour fédérale qui a invalidé un décret du cabinet sous-tendant l’interdiction par Ottawa de certains plastiques à usage unique. La décision du 16 novembre indique qu’Ottawa a dépassé les limites en désignant tous les « articles fabriqués en plastique » comme toxiques en vertu de la Loi canadienne sur la protection de l’environnement.
La désignation toxique est requise pour que le gouvernement puisse réglementer l’utilisation des plastiques. Sans cela, l’interdiction de six articles en plastique à usage unique, dont les pailles, les sacs d’épicerie et les ustensiles, ne pourrait pas être maintenue. La décision du tribunal indique qu’il n’y a aucune preuve que les milliers de produits de cette catégorie sont potentiellement nocifs pour les personnes ou l’environnement. M. Guilbeault affirme que le gouvernement demeure déterminé à lutter contre le fléau de la pollution plastique et qu’il explore toutes les options pour aller de l’avant, en plus de déposer un appel de la décision du tribunal.
(avec La Presse Canadienne)
Après 30 ans à Saint-Hyacinthe, Olymel déménage son siège social à Boucherville. Le transformateur alimentaire affirme que la décision n’entraînera aucune perte d’emploi. L’entreprise centralisera ainsi à Boucherville son siège social ainsi qu’une partie de ses activités d’entreposage et ses opérations de distribution. Les nouvelles installations seront situées dans l’ancien siège social de Colabor. Le déménagement devrait toucher 195 personnes. Il s’échelonnera de l’été 2024 au début de l’année 2026. Seules les équipes responsables de l’approvisionnement pour l’est du Canada demeureront à Saint-Hyacinthe dans le but de favoriser une plus grande proximité avec les sites de production.
Le président-directeur général d’Olymel, Yanick Gervais, affirme que les nouvelles installations permettront à l’entreprise de réaliser des économies d’argent et des gains d’efficacité. Le déménagement favoriserait aussi « une meilleure gestion de tous les dossiers en rapprochant les équipes ». En restructuration, Olymel a aboli des centaines d’emplois au cours des derniers mois. La semaine dernière, près de 300 travailleurs de l’usine de Princeville ont perdu leur emploi à la suite d’une annonce faite en septembre. En mai, l’annonce de la fermeture de l’usine d’abatage de Vallée-Jonction avait créé une onde de choc en entraînant la perte de près de 1000 emplois.
(avec La Presse Canadienne)
L’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques affirme que certaines des plus grandes entreprises canadiennes, dont Alimentation Couche-Tard et Saputo, ont transféré des milliards de dollars de bénéfices au Luxembourg pour éviter de payer des impôts au Canada. Son étude indique que 59 entreprises, dont 33 ayant leur siège social au Québec, ont transféré quelque 119,8 milliards $ de bénéfices nets vers ce pays européen à taux d’imposition faibles, sur une période d’environ 10 ans. Les entreprises opèrent dans plusieurs secteurs, dont la finance, les ressources naturelles, l’alimentation et la technologie.
L’étude note que les stratégies d’évitement fiscal ne sont pas illégales, mais violent l’esprit de la loi, car elles permettent aux entreprises de payer des impôts extrêmement bas dans des juridictions autres que celles où se déroule la majorité de leurs activités économiques. Les chercheurs affirment que certaines entreprises qui figurent sur la liste ont reçu des subventions publiques au Canada, comme des subventions salariales liées à la COVID-19. L’étude indique qu’il n’est pas possible de mesurer l’ampleur des pertes potentielles de recettes fiscales canadiennes, car les bénéfices transférés au Luxembourg proviennent d’activités exercées par des entreprises dans plusieurs pays.
(avec La Presse Canadienne)
Metro a annoncé qu’elle avait signifié une défense et réclamation en dommages-intérêts dans le cadre du recours collectif sur la fixation des prix du pain en Ontario, dans laquelle elle réclame des dommages-intérêts auprès de George Weston, Les Compagnies Loblaw et Weston Foods (Canada) « pour avoir faussement impliqué Metro dans un complot de fixation des prix du pain auquel METRO n’a pas participé ».
Les visiteurs de la Scotiabank Arena de Toronto et du Scotiabank Saddledome de Calgary pourront bientôt éviter les files d’attente aux caisses des boutiques d’arénas lorsqu’ils achèteront de quoi se ravitailler pendant des matchs. Ces arénas vont utiliser une technologie d’Amazon qui permettra aux vendeurs d’effectuer des achats sans passer par la caisse. Via la vision par ordinateur, l’apprentissage automatique et l’intelligence artificielle, cette technologie peut suivre les clients qui entrent dans une boutique avec une carte de crédit ou de débit et comprendre lorsqu’ils prennent un article ou le redéposent sur les tablettes. Lorsqu’ils ont terminé leur magasinage, les consommateurs peuvent simplement quitter la boutique avec leurs articles en main, et Amazon inscrira leurs achats à leur compte de carte de crédit et leur fera parvenir leur reçu. Cette technologie commencera à être utilisée le 29 septembre au Saddledome pour les clients de Market 213, puis sera lancée le 10 octobre auprès des visiteurs de Grains and Greens et au Molson Market de la Scotiabank Arena.
(avec La Presse Canadienne)
Aliments Fontaine Santé, entreprise montréalaise d’aliments prêts-à-manger végétariens réfrigérés et manufacturier de hummus, trempettes, salades, sauces et tofu, a nommé Joe Ens au poste de PDG. Ce dernier a 25 ans d’expérience dans les biens de consommation pour les activités et les marques de Fontaine Santé. Il a précédemment été PDG de HighKey, un manufacturier de biscuits, craquelins, gaufrettes et chocolats sans gluten et sans sucre, et a occupé pendant plus de 20 ans chez General Mills divers postes de direction, notamment pour les marques Cheerios, Cinnamon Toast Crunch, Lucky Charms et Trix. Il a aussi été vice-président de l’unité commerciale Snack Bars, qui comprend des marques comme Nature Valley et Fiber One. Originaire de Toronto, Joe Ens est titulaire d’un baccalauréat en administration des affaires de l’Université Western Ontario et d’un MBA de l’Université York.
Statistique Canada indique que les ventes au détail ont augmenté de 0,3 % pour atteindre 66,1 milliards $ en juillet, grâce à la vigueur des ventes dans les supermarchés et les épiceries. Pour juillet, Statistique Canada indique que les ventes des détaillants d’aliments et de boissons ont augmenté de 1,3 %. Dans les supermarchés et autres détaillants d’alimentation, à l’exception des dépanneurs, elles ont augmenté de 1,5 %, tandis que les détaillants de bière, de vin et de spiritueux ont enregistré une hausse de 1,3 %.
(avec La Presse Canadienne)